Die Doku «Last Days Here» über Bobby Liebling, den ehemaligen Sänger der Metalband Pentagram, der mit 50 im Keller der Eltern lebt und an der Nadel hängt. Erinnert sehr an «The Story of Anvil», sieht aber etwas düsterer und hoffnungsloser aus:
Last Days Here, le nouveau documentaire de Don Argott et Demian Fenton (THE ART OF THE STEAL, ROCK SCHOOL), est un portrait brut mais étonnamment touchant de la légende culte du metal Bobby Favoriten, racontant sa tentative de ressusciter sa vie et sa carrière après des décennies de gaspillage. dans le sous-sol de ses parents. Liebling a fait sa marque dans les années 70 en tant que leader scandaleux de Pentagram, un Black Sabbath « de rue » dont les riffs de heavy metal ont autrefois époustouflé le public. Mais divers actes d'autodestruction, plusieurs séparations de groupes et des contrats de disques bâclés ont finalement condamné sa musique à l'obscurité. Aujourd'hui âgé d'une cinquantaine d'années, dévasté par la consommation de drogues hardcore et vivant de la charité de sa mère et de son père toujours patients (un ancien conseiller de Nixon), la musique de Bobby est enfin découverte par l'underground heavy metal. Depuis plus de trois ans, les cinéastes (et musiciens de metal) Argott et Fenton sont témoins de son incroyable parcours, suivant les triomphes et les chutes de cette icône underground au carrefour de la vie et de la mort.