Les rockers étaient à "Paradise City" aujourd'hui à "Bone City". Avec "Welcome to Bone City", la réponse allemande à Volbeat présente son deuxième long métrage et le successeur de "Devil's Dance" n'est en rien inférieur à son prédécesseur. Kick Ass Rock'n'Roll à la perfection. Avec cet album, «Spitfire» de Munich tente de surpasser ses débuts de cracker de 2. Le métal rencontre le Rock'n'Roll ainsi que le Hard Rock rencontre le Rockabilly ou était-ce quelque chose avec le punk rock ou le rock sudiste ? Ça n'a pas d'importance, parce que ce disque est tout simplement amusant. Des durs à cuire et des filles chaudes, de gros vélos (ou traîneaux) et beaucoup d'histoires sur les sujets typiques. Un petit GTA à écouter, c'est ce que « Spitfire » nous présente ici.

Spitfire - Bienvenue à Bone City

Le rock'n'roll plein gaz de la marque aux trois hommes suffit à allier beau bruit et bonnes mélodies. Vous êtes infecté et emporté ou le disque vous dépasse. Le dépassement n'est pas possible avec ce disque. « Welcome To Bone City » me rappelle ma première expérience avec « Music The Rebel/Metal The Devil » de Volbeat. Comme en témoignent le pseudonyme du frontman (Dick Dropkick) et de ses compagnons d'armes Johnny Jailbreak (basse) et Nikk Nitro (batterie), le trio ne sort aucun cliché et donc peut-être aucune gaffe. Prenez un peu de "The Bones", ajoutez du street punk à la "Dropkick Murphys" (moins les Irlandais) et pas mal de trucs sleaze et le mix est complet. La chose la plus proche qui vient à l'esprit de l'auteur est «Hardcore Superstar» comme point de départ musical.

SpitFire - Fall From Grace (vidéo officielle HD)
SpitFire - Fall From Grace (vidéo officielle HD)

Cet album parle de la ville foutue de Bone City, qui a tous les clichés typiques du rock. Méchants, proxénètes, prostituées, perdants et gagnants. N'oubliez pas les drogues et l'alcool, bien sûr. Le disque vit des clichés typiques, rock'n'roll dansant qui invite au pogo. Les trois Bavarois restent fidèles à leur style et ne veulent pas passer pour autre chose, ce qui les rend plus qu'authentiques. De plus, il y a de brillants solos de guitare, soutenus par la voix unique de Dick Dropkick. Après une courte intro, « Here We Go » va droit au but. Quelque part loin de Motörhead, la chanson ne m'épate pas vraiment. "Too Young To Die" convainc avec un refrain qui tue. C'est exactement cela qui semble être la force du trio, les couplets percutants se transformant en refrains mélodiques. J'aime ce genre de choses et peu m'importe si quelque chose est réinventé de manière innovante ici ou si vous utilisez un modèle de tricot simple et bien connu.

Spitfire

«Queen Of The Night» est un peu plus sobre, mais frappe aussi bien les boiseries. Encore une fois, ce morceau a un assez bon refrain, mais ici on remarque que ce morceau diffère un peu du précédent. Celle-ci veut être entendue plus souvent, car elle n'accroche pas l'oreille aussi vite que ses prédécesseurs, mais après 3h35 au plus tard, même la dernière sait qu'elle est la "Queen Of The Night". "Bone City Radio", en revanche, pourrait aussi faire ses débuts : passages "Oooohooooo", batterie entraînante, uptempo. En général, la partie médiane de l'album est très fortement occupée par "Fall From Grace", "Hell & High Water" ou "Bridges Burned", qui a une très belle mélodie dans le refrain et un gros solo de guitare. Hélas, des morceaux qui ne pétillent pas vraiment («Motorman») se succèdent avant de redevenir accrocheurs avec une légère ambiance western («Battlefield»). "Battlefield" rappelle un peu le dernier disque Volbeat en termes d'ambiance de base, mais cela aurait été un moment fort solitaire sur celui-ci. C'est ce à quoi aurait ressemblé "Outlaw Gentlemen & Shady Ladies" avec des œufs.

SpitFire - Bone City Radio (audio officiel)
SpitFire - Bone City Radio (audio officiel)

Vers la fin le disque s'essouffle un peu, les derniers numéros n'arrivent pas toujours à garder le haut niveau des 10 premières chansons. Ça sonne mal au début, mais ce n'est pas si sauvage. Ces chansons aussi ont leur charme et appartiennent à l'ensemble. L'édition limitée est également livrée avec le super morceau bonus "Dangerzone" (Remember Top Gun ?), donc le conseil est clair : les amis, procurez-vous la version limitée de l'album pour ne pas manquer cette chanson hard-rock. "Welcome To Bone City" ne vous épatera pas du début à la fin, mais il a une multitude de rockers à plein régime qui vous attirent. Donc, si vous avez envie de passer trois quarts d'heure dans l'antre du péché, vous devriez écouter. Dans l'ensemble, le nouveau disque semble plus cohérent que son prédécesseur. Là où les débuts ressemblaient à une collection de succès de diverses sessions d'écriture de chansons, "Welcome To Bone City" vient d'une seule source. L'ambiance de base est peut-être un peu plus sombre, parfois plus calme, des tons plus réfléchis sont frappés aux bons endroits. Les parties "WhoooHoooo" ont été réduites au minimum, parfois au détriment des hits, mais ce disque contient suffisamment de bonnes chansons de la veine "Bridges Burned" ou "Bone City Radio" pour faire démarrer la prochaine soirée. Les trois gars ont toujours leurs marques de fabrique à bord, mais ont subtilement ajouté quelques nuances au son. Les Bavarois appuient généralement sur l'accélérateur et leurs pièces ont une valeur de reconnaissance.

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Spitfire

Tracklist:

  1. Bienvenue à Bone City (Intro)
  2. Et c'est parti
  3. Trop jeune pour mourir
  4. La reine de la Nuit
  5. Radio de Bone City
  6. Tomber en disgrâce
  7. Motorman
  8. Battlefield
  9. Enfer et haute eau
  10. Ponts brûlés
  11. Dernier gang en ville
  12. Take Me Home
  13. Poussière et os
  14. déserté
  15. Dangerzone (CD bonus)

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